Chères amies, chers amis,
12h à 16h
17h à 20h
21h à 00h
Deux entractes d’une heure entre 16h et 17h et entre 20h et 21h vous permettront de vous dégourdir les jambes et de vous restaurer pour cette traversée de douze heures.
Chères amies, chers amis,
Notre ami et compagnon de toujours, Alain Recoing, est mort ce 15 novembre 2013 à Paris.
Notre chagrin est grand, nous pensons avec tendresse et émotion à sa famille et à ses proches.
Tous ceux qui ont connu Alain se souviendront de sa ténacité et de son courage, tant personnel qu’artistique et politique.
A l’occasion de son ouverture de saison, le théâtre du Préau accueille jusqu’au 5 décembre l’exposition Antoine Vitez photographe, en partenariat avec l’association des amis d’Antoine Vitez et l’IMEC.
sortie Aragon/Vitez en 2014
L’enregistrement de la Conférence du 10 avril 2010 au Théâtre de la Colline :
Rencontre Antoine Vitez et le Parti Communiste Continue reading
L’association des amis d’Antoine Vitez et nous-mêmes, Agnès, Jeanne et Marie Vitez, vous informons avec tristesse de la mort de notre ami Salah Teskouk, décédé le vendredi 29 mars 2013 à l’hôpital Tenon à Paris. Continue reading
Journée co-organisée par le laboratoire Théâtre, équipe d’accueil « Arts : pratiques et poétiques » (EA 3208), axe « la scène comme lieu de mémoire », Université de Rennes 2, par l’Institut Mémoires de l’édition contemporaine (IMEC), sous la responsabilité scientifique de Brigitte Joinnault et en collaboration avec l’Association des Amis d’Antoine Vitez. Continue reading
30 mars 2010 à juin 2010 avec plusieurs partenaires (dont la Colline, Chaillot, le Théâtre du Vieux-Colombier, le Conservatoire national d’art dramatique)
Une série d’évènements en commémoration des vingt ans de la dis parution d’Antoine Vitez : expositions de photographies, projections, représentations, lectures, mise en voix, spectacles, débats, colloque, parutions. Continue reading
Nina Berberova – L’Accompagnatrice
(ed. Actes Sud)
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Mon père attachait une importance particulière à la manière de dire, de parler les alexandrins, au rythme, à la rime, aux respirations, autant qu’à la voix des acteurs, leur timbre, leur accent.
Cette façon d’entendre la langue, qui dépassait d’ailleurs le cadre du théâtre, et même de la langue française (il était polyglotte lui-même) faisait que son travail chargeait d’une émotion particulière la musicalité des alexandrins, lui donnait un sens propre. Continue reading